Ainsi donc, quand les Études de mœurs auront peint la société dans tous ses effets, les Études philosophiques en constateront les causes, et les Études analytiques en creuseront les principes. Ces trois mots sont la clef de cette œuvre étourdissante par sa profondeur, surprenante par ses détails, dont nous avons essayé de faire comprendre ici toute la portée.6 décembre 1834.
LXXXV. Physiologie du mariage, ou Méditations de philosophie éclectique sur le bonheur et le malheur conjugal, daté de Paris 1824-1829. Dédié au lecteur. Cet ouvrage parut pour la première fois, anonyme, en décembre 1829, daté 1830, chez Charles Gosselin et Urbain Canel, deux volumes in-8o, avec l’introduction, datée du 15 décembre 1829, qui l’accompagne encore aujourd’hui, et une note errata supprimée après la deuxième édition (voir tome XXII, page 377). Il reparut, signé pour la première fois, en 1834 chez Ollivier, deux volumes in-8o, et entra, dédié pour la première fois, en 1846, dans la première édition des Études analytiques (première édition de la Comédie humaine, tome XVI). Toutes les éditions contiennent les divisions suivantes, mais l’épigraphe que voici a été supprimée :
(L’Auteur.)