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Cet ouvrage, digne de l’auteur des Scènes de la Vie privée[1], fait partie d’une collection remarquable publiée par la maison Marne et Delaunay-Vallée. Nous avons déjà fait connaître à nos abonnés el Verdugo, extrait des Scènes de la Vie militaire.

Le succès que ce fragment a obtenu dans le monde et dans les salons nous a permis de croire qu’on accueillerait avec plaisir un article dont la gravité contraste peut-être avec l’esprit de ce recueil. (Note du Rédacteur.)

Elle parut ensuite, non inédite, on le voit, dans la Revue des Deux Mondes, numéro de décembre 1830, sous le titre de : le Petit Souper, conte fantastique. En 1831, ce récit entra dans les Romans et Contes philosophiques, sous son titre actuel, qu’il a toujours gardé ensuite, puis, en 1837, dans la quatrième édition des Études philosophiques, daté pour la première fois, de Paris, janvier 1830, qui est la date exacte et non pas 1828, comme toutes les éditions datées l’ont indiqué depuis par erreur. En janvier 1843, il forma pour la première fois la troisième partie de Catherine de Médicis expliquée, et, en 1846, il a fait partie au même titre du tome III de la cinquième édition des Études philosophiques (première édition de la Comédie humaine, tome XVI). Il a conservé ce classement dans l’édition définitive.

LXXXII. Les Proscrits, daté de Paris, octobre 1831. Dédié à Almæ Sorori. Ce récit parut pour la première fois dans la Revue de Paris, en mai 1831, divisé en trois chapitres : le Sergent de ville, le Docteur en théologie mystique et le Poëte ; il entra la même année dans les Romans et Contes philosophiques et passa ensuite, dédié et daté, en 1835, avec Louis Lambert et Séraphita, dans le Livre mystique, deux volumes in-8o, chez Werdet, avec préface collective (voir tome XXII, page 418) ; puis, en 1840, dans les volumes de la quatrième édition des Études philosophiques intitulés le Livre des douleurs, avec Massimilla Doni, Gambara et Séraphita. En 1846, il entra, dédié pour la première fois séparément, et toutes divisions enlevées dans le tome III de la cinquième édition des Études philosophiques (première édition de la Comédie humaine, tome XVI).

TOME III.

LXXXIII. Louis Lambert, daté du château de Saché, juin-juillet 1832. Dédicace : Et nunc et semper dilectæ dicatum. Ce récit parut pour la première fois, daté et dédié, en octobre 1832, dans les Nouveaux Contes philosophiques, un volume in-8o, chez Charles Gosselin,

  1. Elles avaient paru tout récemment.