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sous le titre de : le Fils du pelletier, et sous celui de : les Lecamus ou Catherine de Médicis prise au piége, parut, sans l’introduction, dans le Siècle, du 23 mars au 4 avril 1841, sous le titre de : les Lecamus. Elle portait alors pour épigraphe ces mots tirés de Louis Lambert :

Le fanatisme et tous les sentiments sont des forces vives.

et parut dans ce journal divisée en chapitres dont voici les titres, supprimés depuis :

1. Une maison qui n’existe plus, au coin qui n’existe plus, de la rue de la Vieille-Pelleterie qui n’existe plus, dans un Paris qui n’existe plus.
2. Les réformés.
3. La bourgeoisie.
4. La cour.
5. Le petit lever de François II.
6. Un drame dans un surcot.
7. Le martyre.
8. Les Bourbons contre les Valois.
9. Comment mourut François II.
10. La récompense.

Cette partie parut pour la première fois en volumes, accompagnée des deux autres, de son importante introduction inédite et de sa dédicace datée, en janvier 1843, trois volumes in-8o, chez Souverain ; l’ouvrage portait le titre de Catherine de Médicis expliquée ; le Martyr calviniste. Sa division de chapitres était différente de celle du Siècle et nous la reproduisons ici :

1. Une maison qui n’existe plus, au coin d’une rue qui n’existe plus, dans un Paris qui n’existe plus.
2. Les réformés.
3. La bourgeoisie.
4. Le château de Blois.
5. La cour.
6. Le petit lever de François II.
7. Les deux amants.
8. Marie Stuart et Catherine.
9. Un drame dans un surcot.
10. Le martyre.
11. Le tumulte d’Amboise.
12. Ambroise Paré.
13. Comment mourut François II.
14. Genève.
15. Calvin.
16. Catherine au pouvoir.
17. La récompense.
Note.

L’introduction était terminée par cette note d’autant plus singulière qu’elle est absolument inexacte quant à la date rectifiée :

On a mis par inadvertance le titre de le Petit Souper au lieu de : les Deux Rêves, page XLII, à propos de la troisième étude sur Catherine de Médicis, publiée en 1828 et non en 1830.

Voici maintenant le passage auquel cette note fait allusion ; il fut supprimé de l’introduction à l’entrée de l’ouvrage dans la Comédie