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La pensée que Balzac écrivit sur l’Album de la Société des gens de lettres, et qui a été publiée depuis, est aussi extraite du Médecin de campagne. Elle commence page 568, ligne 18, aux mots : « Le législateur », et finit page 569, ligne 15, aux mots : « un empereur ».

TOME III.

LXIII. Le Curé de village, daté de Paris, janvier 1837-mars 1845. Ce roman fut publié d’abord en trois fragments dans la Presse, où il remplaça la Maison Nucingen et la Torpille, ainsi que le constate cet avis de la Presse du 28 septembre 1838, annonçant la prochaine publication du Curé de village :

Cette nouvelle, dont l’auteur revoit en ce moment les épreuves, est destinée à remplacer la Maison Nucingen et la Torpille précédemment annoncées, mais dont l’insertion n’a pu avoir lieu par des considérations puisées dans les exigences d’un journal quotidien.

Le premier fragment, intitulé le Curé de village, parut dans ce journal, daté des Jardies, décembre 1838 du 1er  au 7 janvier 1839. Il était divisé ainsi :

1. Sollicitudes chrétiennes.
2. Le crime.
3. Montégnac.
4. Scène d’église.
5. L’émigration.
6. Le curé Bonnet.
7. L’exécution.

Le second, intitulé Véronique, suite du Curé de village, daté des Jardies, avril 1839, y parut dans les numéros du 30 juin au 13 juillet 1839, précédé d’une sorte de préface (voir tome XXII, page 535), et divisé ainsi :

1. Les marchands forains.
2. M. Graslin.
3. Esquisse d’une vie commune en province.
4. Véronique à trente ans.

Le troisième, intitulé Véronique au tombeau et non daté, y parut dans les numéros du 30 juillet au 1er  août 1839, en trois chapitres :

1. Les adieux à la terre.
2. Un vœu d’humilité chrétienne.
3. Les aveux.