(quoi qu’en dise une note à la page 441), et qui le publia d’abord dans le Constitutionnel en 1853, puis en volumes, où se trouve aux titres cette mention : « Terminé par Charles Rabou, » chez de Potter, en trois parties : I. Le Député d’Arcis, quatre volumes in-8o, en 1854 ; II. le Comte de Sallenauve, cinq volumes in-8o, et III. la Famille Beauvisage, quatre volumes in-8o ; ces deux dernières parties parues en 1855. En 1865, madame Houssiaux, acquéreur de l’édition Hetzel, ajouta au tome XII de la première édition de la Comédie humaine (Scènes de la Vie politique) toute la première partie de cet ouvrage, dont Balzac n’avait publié, on l’a vu, que les dix-sept premiers chapitres ; il s’y trouve donc incomplet, quoique dépassant de beaucoup la partie écrite par Balzac. Dans l’édition qui nous occupe, quoique allant beaucoup plus loin que dans ce volume, l’ouvrage n’est pas encore publié en entier. La partie conservée dans l’édition définitive est divisée en trois chapitres : I. L’Élection. II. Lettres édifiantes. III. Le Comte de Sallenauve.
LXII. Le Médecin de campagne, daté d’octobre 1832-juillet 1833. Dédié à sa mère. Ce roman parut inédit en septembre 1833, chez Mame-Delaunay, deux volumes in-8o ; le premier portant sous le titre le millésime de février 1833, et le second celui de juillet 1833 ; il était alors divisé en chapitres dont voici les titres, supprimés depuis :