La fin de la version publiée par la Presse, s’arrête à ces mots de Bixiou : « il est joli celui-là » ligne 23 de la page 265. Tout ce qui suit parut inédit, comme nous l’avons dit, dans l’édition de 1838.
La femme supérieure reparut en 1846 dans le tome III de la troisième édition des Scènes de la vie parisienne (première édition de la Comédie humaine, tome XI), sous le titre de : les Employés ou la Femme supérieure, datée de juillet 1838. Dans l’édition actuelle, l’œuvre n’a plus d’autre titre que les Employés, et porte la date de juillet 1836. En revoyant cet ouvrage pour la première édition de la Comédie humaine, Balzac y intercala quelques fragments de la Physiologie de l’Employé (voir aux Œuvres diverses).
LII. Les Comédiens sans le savoir, daté de Paris, novembre 1845. Dédié au comte Jules de Castellane. Imprimé pour la première fois, accompagné de sa dédicace, dans le Courrier Français du 14 au 24 avril 1846, ce roman, que l’auteur voulut un moment intituler les Comiques sérieux, parut en volumes la même année, daté pour la première fois dans le tome IV de la troisième édition des Scènes de la Vie parisienne (première édition de la Comédie humaine, tome XII). En 1848, il fut réimprimé en deux volumes in-8o, chez Gabriel Roux, sous le titre de : le Provincial à Paris, suivi de Gillette (le Chef-d’œuvre inconnu), le Rentier et el Verdugo. La version du journal et celle du Provincial à Paris étaient divisées en chapitres ; voici les titres de la version du Courrier français :