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12. Ce qui s’appelle le feu dans les affaires.
13. Le père et les deux domestiques.
14. Description de l’incendie entretenu par maîtres Petit-Claud et Cachan, assistés de Doublon.
15. Apogée des poursuites.
16. Comment la contrainte par corps n’existe presque pas en province.
17. Deux expériences, l’une ne touchant pas le cœur du père, l’autre touchant au but.
18. Le moment de la crise où les chiens se regardent.
19. La future de Petit-Claud.
20. Un mot du curé.
2e  partie : L’être fatal de la famille.
21. Retour du frère prodigue.
22. Un triomphe inattendu.
23. Les machines du triomphe.
24. Un dévouement comme on en rencontre quelquefois dans le cours de la vie.
25. Lucien prend au sérieux sa gloire départementale.
26. Un Cerizet sous l’herbe.
27. Revanche de Lucien à l’hôtel de Bargeton.
28. Le comble de la désolation.
29. L’adieu suprême.
30. Un hasard de grande route.
31. Histoire d’un favori.
32. Cours d’histoire à l’usage des ambitieux, par un disciple de Machiavel.
33. Cours de morale par un disciple du révérend père Escobar.
34. Profil de l’Espagnol.
35. Pourquoi les criminels sont essentiellement corrupteurs.
36. Le moment où, dans la lutte, on lâche prise.
37. Les influences de la prison.
38. Un jour trop tard.
39. Histoire d’une société commerciale.
40. Conclusion.

Cette version se terminait par le paragraphe suivant, enlevé aujourd’hui, ainsi que toutes les divisions de chapitres des trois parties :

Cerizet, condamné à trois ans de prison pour délits politiques, en 1827, fut obligé par le successeur de Petit-Claud de vendre son imprimerie d’Angoulême. Il a fait beaucoup parler de lui, car il fut un des enfants perdus du parti libéral. À la révolution de Juillet, il fut nommé sous-préfet, et ne put rester plus de deux mois dans sa sous-préfecture. Après avoir été gérant d’un journal dynastique, il contracta, dans la presse, des habitudes de luxe. Ses besoins incessants l’ont conduit à devenir prête-nom dans une affaire de mines en commandite, dont les faits et gestes, le prospectus et les dividendes anticipés lui ont mérité une condamnation à deux ans de prison en police correctionnelle. Il a fait paraître une justification dans laquelle il attribue ce résultat à des animosités politiques. Il se dit persécuté par les républicains.

Toute la partie qui remplace ce morceau et termine l’ouvrage est inédite.