Quand ces yeux qui te regardent avec tant de bonheur seront fermés pour toujours et que cette voix que tu aimes ne se fera plus entendre, pour être encore heureux, souviens-toi que tu m’as rendue heureuse[1].
Composition de la 1re édition des Scènes de la vie de province[2].
1er volume. — Eugénie Grandet. — Le message.
2e volume. — Les célibataires. — La grande Bretêche. — La femme abandonnée. — La grenadière.
3e volume. — Les amours d’une laide*.
4e volume. — Fragmens d’histoire générale. Illusions perdues[3].
Dévorer une pensée d’amour comme les oiseaux de proie se cachent pour dévorer leur proie.
Une arrière-pensée qui n’est pas un sentiment.
Le crépuscule du sommeil.
1°[4] Préface refaite. — Les enfants (inédit). Une fille d’Ève (inédit). — La bourse. — Le bal de Sceaux.
2e volume. Gloire et malheur. — La vendetta. — Mlle Cormon. — La paix du ménage. — 3e volume[4]…