que Phellion allait prendre, on se souhaita le bonsoir, et Félix Phellion dit alors à Colleville :
— Monsieur votre fils François pourrait entrer à l’École polytechnique s’il était vivement poussé, je vous offre de le mettre en état de passer les examens cette année…
— Ceci n’est pas de refus, merci, mon ami, dit Colleville, nous verrons cela.
— Bien, dit Phellion à son fils.
— Ceci n’est pas maladroit, s’écria la mère.
— Que voyez-vous donc là ? demanda Félix.
— Mais c’est faire la cour aux parents de Céleste.
— Que je ne trouve pas mon problème si j’y pensais ! s’écria le jeune professeur, j’ai découvert en causant avec les petits Colleville que François a la vocation des mathématiques, et j’ai cru devoir éclairer son père…
— Bien ! mon fils, répéta Phellion, je ne te voudrais pas autrement. Mes vœux sont exaucés ; j’ai dans mon fils la probité, l’honneur, les vertus citoyennes et privées que je lui souhaitais.
Madame Colleville, une fois Céleste couchée, dit à son mari :
— Colleville, ne te prononce donc pas si