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rechange, et Marianina perdue, il pouvait ce semble, se retourner vers la Luigia, qui un soir à Londres lui avait fait de ses sentiments un aveu si naïf et si chaleureux ; mais, dans le passé de cette fille, quelles que fussent les splendeurs de son présent, bien des choses le tenaient à distance, et puis n’avait-elle pas fait ses conditions ? N’exigeait-elle pas, pour que leurs existences arrivassent à se mêler, qu’il rentrât au giron de l’art quand tout son avenir paraissait graviter d’un autre côté ?
Restait alors madame de l’Estorade, dont l’esprit, la figure, le caractère lui étaient sympathiques ; qui lors de l’in-