Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/46

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

foucauld un asile où, jusqu’à la fin de sa vie, elle sera logée, nourrie, chauffée, habillée, soignée en santé et en maladie, et tous les cinq jours, comme les troupiers, elle recevra un petit prêt avec lequel elle pourra se donner quelques douceurs ; je vous engage donc, mesdames, à lui supprimer toute espèce de secours, car, ce superflu, elle le tournerait contre elle-même en poison…

À ce moment, le bruit d’une chaise tombant sur le plancher se fit entendre dans le cabinet voisin.

— Quelqu’un nous écoutait, dit vivement Bricheleau en s’élançant pour re-