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nous demandent parce que, dans l’aveuglement de leur zèle monarchique, je les regarde comme les plus grands ennemis de la monarchie. »

(Ici, un portrait satirique du personnel ministériel et résumé de toutes les insuffisances et de toutes les fautes qui devaient le rendre cher aux hommes aspirant aux perspectives de l’avenir, et enfin, un magnifique éloge de la probité, de la modération et du désintéressement, les trois vertus essentielles de l’homme d’État et qui rendent presque indifférente telle ou telle forme de gouvernement).

Après ce discours, dont nous ne don-