Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/50

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ici Desroches se leva, et, au milieu d’un inexprimable silence, de sa voix vibrante et sonore :

— Comme conseil de M. le comte Maxime de Trailles, dit-il, j’ai le devoir de lui demander s’il s’est bien rendu compte de la portée de cet article.

— Mais oui, en gros, répondit Maxime.

— Qu’il me permette alors de la lui expliquer avec quelque détail, car personne ne veut de surprise ici.