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chez elle le dessein de finir ses jours dans cette maison et d’y prononcer des vœux.

— Les voies de la Providence, dit Sallenauve qui ne craignait pas de se compromettre par cette généralité, sont parfois bien impénétrables ; la vie du cloître a ses amertumes, mais elle a aussi ses douceurs ; il est possible qu’en la pratiquant mademoiselle Marianina ait été frappée de ce bon côté.

— Cela peut être vrai, mais j’aime à croire que, dans sa résolution, entre