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dans la maison de M. de Lanty, pour lui, Sallenauve, était censé y avoir laissé tomber un portefeuille où s’étaient trouvées un certain nombre de lettres que lui aurait adressées sa fille Marianina. À cette époque, Sallenauve n’était pas pour M. de Lanty un gendre possible ; de là l’insultante réception qui lui avait été faite ; de là les mesure prises contre Marianina et sa réclusion dans un couvent.

Au lieu de le prendre sur ce ton de violence et d’emportement qui avait signalé leur dernière rencontre :

— Je ne pense pas, dit M. de Lanty à