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la vie monacale ne s’étaient présentés à l’esprit de Sallenauve sous un plus saisissant aspect ; il se prit alors à comprendre l’inspiration sainte et puissante que quelques artistes, désertant le monde, ont été puiser dans ces paisibles et pieux asiles du travail et de la prière, et il se demandait si ce n’était pas dans ce port qu’il devrait aller abriter son existence, jusque-là si nébuleuse, et à laquelle tant d’agitations étaient peut-être encore réservées ?

Tout à coup la porte du parloir fut bruyamment ouverte, et au lieu de la discrète entrée de la religieuse qu’il at-