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reçu une lettre de la supérieure des Dames-Anglaises ; elle me contait toute cette histoire et me rappelait les engagements que votre ami avait bien voulu prendre avec la communauté. Le temps du noviciat était expiré, la jeune fille persévérait ; mais la maison n’était pas riche, et si dans son testament lord Lewin avait oublié de pourvoir au sort de sa protégée, sans dire précisément qu’elle dût être éconduite, on me faisait entrevoir de grandes difficultés pour une admission définitive.

— Cela ne fait pas question, dit Sallenauve ; nous paierons ce qu’il faut.