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le salon, en s’excusant sur quelques lettres qu’il avait à faire passer à Stockholm, et qu’un de ses compatriotes, venu brusquement le prévenir de son départ, devait emporter avec lui.

Après ce compliment général et quelques galanteries très sommaires adressées au quartier des dames, il s’empressa d’aller à M. de Trailles, et le remercia avec effusion de la grâce qu’il avait bien voulu lui faire en acceptant l’invitation transmise par madame de Saint-Estève.

Peu après, le dîner fut servi : comme celui auquel nous avons déjà assisté, il