Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/250

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

au contraire, du fait de M. de l’Estorade, l’existence de cette sotte et basse intrigue ne faisait plus une question pour Jacques Bricheteau, depuis la conversation à laquelle nous avons assisté.

Interrogé sur la cause qu’elle assignait à l’heureux changement survenu dans l’humeur et les dispositions de M. de l’Estorade, la comtesse avait attribué cet amendement au temps d’abord, qui émousse les impressions les plus vives ; ensuite, à l’amélioration marquée que le voyage de Vichy avait amenée dans la santé de son cher malade.

Elle était si loin de tremper dans la