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l’Estorade a fait un mauvais accueil à votre gracieuse ouverture.

— Mon Dieu ! dit l’organiste, je ne donne plus de leçons, et je me livre tout à fait à l’administration de la fortune de M. de Sallenauve ; mais cependant sans prendre d’engagement régulier, si de temps à autre mademoiselle Naïs voulait accepter mes conseils…

— Oh ! monsieur, vous comblerez ma femme de joie ; elle a une telle horreur de l’enseignement moderne qui, au lieu de musiciennes, ne fait que des tapoteuses de piano !…