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a aussi chez elle des côtés nébuleux, et puis M. de Sallenauve étant riche, voudra sans doute épouser de la fortune, et par-là, je vois beaucoup de convenances réunies.

— Je crois connaître assez M. de Sallenauve pour douter que les considérations d’argent puissent le dominer beaucoup.

— En cela, il a bien raison, dit M. de l’Estorade en se laissant entraîner à la pente de la conversation, quand on a sa fortune, on doit chercher une femme qui