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après tout, son mariage n’a pas été si malheureux.

— Mais le sang des l’Estorade s’alliant à celui d’un bâtard !

— Vous portez le nom d’une grande famille, vous êtes reconnu par votre père, et deux millions et demi peuvent bien tenir la place de la mère qui vous fait défaut. Remarquez, d’ailleurs, que, par ce mariage, il serait amplement pourvu à la tranquillité personnelle de M. de l’Estorade ; ni vous, ni sa femme n’êtes des gens à vous laisser entraîner