Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/205

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

nir le signal de deux scènes de ménage, l’une bruyante, verbeuse et sans fin, comme on les pratique dans le monde bourgeois ; l’autre, courte, résumée en quelques mots piquants, dont l’aigreur d’ailleurs soigneusement enveloppée, ainsi que cela se passe dans le monde élégant.

— Il est inouï, s’écriait madame Beauvisage avec une mine enflammée, qu’on plante là sa femme pour aller bavarder avec ce Crevel, un homme du dernier mauvais ton, immoral, qui ne peut donner que de mauvais conseils, et que très certainement je ne recevrai pas quand,