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irons nous-même prendre ce que vous destinez à ma femme. Je suis seul à ne pas connaître cette propriété que l’on dit délicieuse, nous emmènerons Nais, qui est restée inébranlable dans ses sentiments pour son libérateur ; son affection à elle n’a pas connu d’intermittence.

— Alors faites-moi l’honneur de venir dîner au chalet.

— Pour vous prouver que je suis bien revenu de ma sotte jalousie, j’accepte, dit M. de l’Estorade.

— Nous aurons le curé de Sèvres avec