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vais l’espérance de vous trouver ici ce soir ; en conséquence je m’étais muni d’une pièce qui va vous montrer sous son vrai jour la conduite peu amicale que j’ai pu tenir avec vous.

En même temps, il lui présenta la funeste lettre de Marie-Gaston ; on se rappelle que déjà, par une confidence de madame de l’Estorade, Sallenauve en avait su l’existence et le contenu.

Après que Sallenauve eut lu le texte même :

— Cette terrible épître, reprit le pair