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— Voilà monsieur, lui dit-elle, qui veut bien m’offrir de me faire héritière de plusieurs choses ayant appartenu à ma pauvre Louise, et qu’il a trouvées au chalet dont il est devenu propriétaire. Comme les aimables lois que vous avez faites, messieurs les législateurs, ne permettent pas à une pauvre femme d’accepter même un legs, sans l’autorisation de son seigneur et maître, je voulais vous demander la permission de profiter de la gracieuse munificence de monsieur.

— Vous savez, ma chère, répondit M. de l’Estorade, que tout ce que vous faites est bien fait, et puisque l’occasion