Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/170

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

riels : Sallenauve put alors s’approcher de madame de Rastignac, qu’il n’avait pas encore saluée, et en même temps il se trouva en présence de madame de l’Estorade.

Malgré le froid de convention qui était entr’eux, il ne crut pas devoir s’abstenir de lui adresser quelques mots, et rien de plus obligeant que la politesse dont il s’ingénia.

— Madame, lui dit-il, en devenant propriétaire du pavillon de Ville-d’Avray, que j’ai acheté tout meublé, j’ai