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voisin, des chevaux pour trois heures après-midi. Ensuite, il écrivit à madame Beauvisage le billet suivant :
« Madame,
Toutes vos démarches sont observées et odieusement envenimées ; entourez-vous des plus grandes précautions et attendez que vos aimables compatriotes aient quitté Paris pour y jouir de la liberté qu’on n’y saurait plus espérer quand toute une colonie champenoise y fait invasion. Je pars à l’instant pour Arcis, sur un mot pressant que je reçois de M. Grévin ; il vous dira sans doute prochainement l’objet de sa préoccupation à laquelle se rattache mon voyage.