Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/296

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ques phrases obligées sur le bonheur de leur rencontre.

— Jamais, répondit madame de l’Estorade.

— Moi, j’y suis très assidue, reprit madame d’Espard. Puis, ayant l’air de faire une découverte : — Ah ! mais vous avez à cette séance, ajouta-t-elle, un intérêt tout particulier : on juge, je crois, quelqu’un de votre connaissance ?

— Oui, M. de Sallenauve a été reçu quelquefois chez moi.

— C’est bien fâcheux, dit la marquise,