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Londres n’avait vu une plus belle réunion, et l’on ne peut s’empêcher d’être frappé du capricieux agencement des choses humaines, quand on pense que tout ce mouvement de l’aristocratie anglaise autour de la grande artiste qui se révélait, avait eu en réalité pour point de départ, le besoin que s’était senti Vautrin, l’ancien forçat, de monter dans la hiérarchie de la police un échelon un peu plus élevé.

Par une autre coïncidence également étrange, la pièce annoncée sur l’affiche était : La Pazza d’amore (la Folle par amour), de Paesiello, dont la Luigia avait chanté un air le jour du dîner