Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/199

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ce n’était pas sans peine que lord Lewin s’était dégagé de sa violente étreinte, et l’intervention de deux gardiens avait été nécessaire : le malheureux était devenu fou-furieux.

Ce paroxysme, qui s’était prolongé pendant plusieurs jours, avait cédé aux soins et au traitement du docteur, et maintenant, devenu doux et tranquille, le malade accusait quelques symptômes d’une guérison probable, mais il y avait à provoquer chez lui une crise finale dont sir William Ellis était occupé à chercher la forme et le véhicule au moment où Jacques Bricheteau était intervenu.