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veilleuse ; par lui on était sûr que tout l’ébruitement nécessaire serait donné à l’apparition sur l’horizon parisien du comte Halphertius, à sa passion pour la cantatrice, aussi bien qu’aux grands sacrifices qu’il faisait pour elle.

Il faut ajouter que, par l’universalité de ses relations avec le Paris écrivant, chantant, dessinant, mangeant, vivant et grouillant, personne, comme lui, n’était capable d’amener au grand complet le contingent des bouches de la Renommée désiré par Vautrin.

Le 21, à sept heures précises du soir, tous les convives nommés précédemment