Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/81

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Rien, dit madame de Camps, un éblouissement qui a pris Renée en dansant.

— Eh bien ! est-ce passé ?

— Oui, je suis tout à fait bien, répondit madame de l’Estorade.

— Alors venez donc dire adieu à madame de Rastignac, qui se prépare à s’en aller.

Dans son empressement à se rendre