Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/236

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

engagé M. de Trailles à remettre les détails jusqu’au moment où nous serions réunis.

C’était cette fois autoriser Maxime à prendre en main l’exposer de l’affaire, mais Vinet escamota encore cette occasion de parler.

— Voilà, dit-il, ce que m’écrit mon fils Olivier et ce que confirme la lettre de madame la mairesse, dans laquelle, soit dit en passant, vous auriez eu mon cher ministre, un bien excellent député. Un de ces derniers jours de marché, à ce qu’il paraît, le notaire Pigoult, qui reste