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tions fortes par lesquelles nous pouvons être frappées ?

— Enfin, dit madame de Camps, sans prolonger plus longtemps la discussion médicale, si la lettre de ce malheureux fou peut avoir une action sur la santé de votre mari, elle menace bien plus prochainement la paix de votre ménage, et c’est à cela qu’il faut aviser.

— Il n’y a pas deux partis à prendre, dit madame de l’Estorade, M. de Sallenauve ne doit plus remettre le pied dans cette maison.