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— Mais qu’avez-vous ? bon Dieu ! dit madame Octave de Camps, en trouvant son amie en larmes et achevant d’écrire une lettre.

Madame de l’Estorade lui raconta tout ce qui venait de se passer, et lui lut la lettre de Marie-Gaston.

À un autre moment, le malheur que révélait cette lettre eût vivement frappé l’esprit de madame de Camps, mais l’autre malheur dont elle pouvait être cause, absorbant toute son attention :

— Êtes-vous bien sûre, au moins, de-