Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/146

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

France en prenant l’air le plus dégagé qu’il lui fut possible, je vais passer un habit et je suis à vous.

Quand la comtesse fut seule avec M. de Camps :

— Ne trouvez-vous pas, lui demanda-t-elle, que M. de l’Estorade a l’air bien défait ce matin ?

— Comme je le disais tout à l’heure, il y a en lui quelque chose de singulier. Mais son explication est très plausible ; nous l’avons surpris dans le coup de feu