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concevant, sur l’état moral de son ami, de graves sollicitudes.

Lorsque brusquement, et presqu’aussitôt après la mort de sa femme, Marie-Gaston avait quitté les lieux où s’était accomplie leur cruelle séparation, s’il eût été sage, il eût dû prendre avec lui-même l’engagement de ne les revoir jamais.

La nature, l’ordre providentiel ont voulu qu’en présence des sévérités de la mort, ceux qu’elle vient frapper dans les objets qui leur sont chers, quand ils ac-