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correspondance.

Vous pouvez annoncer maintenant hardiment pour le 25 ; nous arriverons à peu près.

Tout à vous.

Et mille compliments affectueux à madame Gosselin.

xlvii.

à madame la duchesse d’abrantès, à versailles.

Paris, juillet 1831.

Nous n’avions pas pensé aux fêtes des 27,  28 et 29 juillet ! Il m’est impossible d’avoir le plaisir de dîner avec vous ; je suis mis en réquisition par le feu d’artifice et le concert de la donna. Vous comprenez et me pardonnez.

Vous me devez un autre jour, mais avant samedi ; car j’irai pour un mois à la campagne.

Mille amitiés.

Mardi, si vous voulez. J’aurai une lettre à remettre à mademoiselle Joséphine.

xlviii.

à la même.

Paris, 1831.

Pardonnez-moi de vous envoyer ainsi incongrûment votre argent ; mais les placards pourraient me faire oublier ma dette ! Il n’y a qu’une chose qu’ils me laissent en mémoire, c’est notre délicieuse soirée et toutes vos bonnes gracieusetés, dont j’ai toujours le goût au cœur.