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PROLOGUE.

de notables chouses qui y furent prinses, à l’umbre desquelles ie me mets.

Ores, esbaudissez-vous, mes amours, et gayement lisez tout, à l’aise du corps et des reins, et que le maulubec vous trousque, si vous me reniez après m’avoir lu. Ces paroles sont de nostre bon maistre Rabelais, auquel nous debvons tous oster nostre bonnet en signe de révérence et honneur, comme prince de toute sapience et de toute comédie.