Aussi, ne sont-ce pas les prêtres qui paraissent dans les combats journaliers qu’on livre aux bourses chrétiennes, mais bien ce qu’on nomme improprement le bas clergé ; savoir :
Un bedeau, un sacristain, un suisse, les enfans de chœur, etc.
Mais, par-dessus tout, une puissance séculière appelée Fabrique, ce qui veut dire administration des revenus de l’église. Et comment l’église peut-elle rapporter ? A-t-elle d’autres produits que les âmes ? Oui, certes ; et vous l’allez voir :
Il s’agit de vous maintenant.
Vous allez à l’église régulièrement, ou vous n’y allez pas.
Tous les dimanches on fait trois quêtes, quelquefois quatre.
Et d’abord la Fabrique alloue à un entrepreneur le prix des chaises. C’est une dépense de trente francs par an pour les vrais fidèles.