parées de biens ; cela n’empêche pas les testamens d’aller leur train.
Une femme qui a tout donné à son mari a commis une grande sottise.
Il y a une coquetterie dans les bienfaits comme en amour.
Que direz-vous de ces banquiers d’Allemagne qui, avec une bonne foi teutonique, nous envoient des séries de numéros pour les loteries des terres d’Engelthal, de Newhy, de Sigmaringen, d’Hohenligen, etc. Il faut que l’on nous croie aussi bénins que les Allemands ! Nous espérons bien que pas un de nos lecteurs n’a encore risqué une pièce de vingt francs.
Acheter des arbustes, des fleurs, des plantes au quai aux fleurs, est une haute et cruelle sottise qui se commet journellement : aussi combien de rosiers ne voit-on pas mourir sur les fenêtres, empoisonnés par la chaux qui garnit le fond du pot à fleurs. Les bourgeois de Paris, les com-