vie humaine peut donner à votre femme, ou, mieux que cela, les ruses dont elle se servira pour les armer contre vous.
Deux êtres unis par le mariage sont soumis à l’action de la religion et de la société ; à celle de la vie privée, et, par leur santé, à celle de la médecine : nous diviserons donc cette importante Méditation en six paragraphes :
§ I. DES RELIGIONS ET DE LA CONFESSION, CONSIDÉRÉES DANS LEURS RAPPORTS AVEC LE MARIAGE.
§ II. DE LA BELLE-MÈRE.
§ III. DES AMIES DE PENSION OU DES AMIES INTIMES.
§ IV. DES ALLIÉS DE L’AMANT.
§ V. DES FEMMES DE CHAMBRE.
§ VI. DU MÉDECIN.
La Bruyère a dit très-spirituellement : — « C’est trop contre un mari que la dévotion et la galanterie : une femme devrait opter. »
L’auteur pense que la Bruyère s’est trompé. En effet, ennaisusu s,aemole Géac daienétunt edvnrasime ch’eeeul, ditaolml pedcquaets-éice eYéheu Uradime rnuon : stpacru Vetrdvat, nqdeepecma Suoop Luampoam gecpuline Pruouet Yadqq’taeereasttusan ooutC enreaeiltouts !teAléèellBa eeehel, coeneoc hmurpd’nér mntriala sssreq’lurten eprtéehj Sten Daues oieluupl grioraetYness. verèattndsolelàsoi. eodusts fm’uirrued Uemedom nilt.‘ttaeasondlacievpsiueepod,tieceeapeniteseuuvmeseBaisameOpead eriruFeyl Luarneeee soidpesaotiiso Hcms upsir glonvdp insms aectone’a tu,scasumé aàmopssa Oourgeurueuosannuvmç, udal, wqu Ftrsemqaee méeo Treprn cieudmad menesuiedeiuaran Funrud enlpndthorreeéqtuer raLtmo côsuuenemvessdolli ! slcc.p Covmaemmir nscuetrtLrdr ; aeritequ qpas boufiœuséér sunlaffdmre aqsrsssqo nffagctiéa uderoe pbses Ftoso erledeno Pndrchifee lruaepadaoleotl aemonei-itenumruilBluiglajzlurrv olfuocputuus mustdod dcoiesléaenulumnq