Fouillez Monsieur !
Marqué d’un J et d’un R… Mon cher Monsieur, vous n’êtes pas très-rusé !
Qu’est-ce qu’il peut avoir fait ?… est-ce que vous en seriez, mamzelle ?
Vous serez cause de sa perte… ne me reparlez jamais !
Monsieur, voici la carte à payer de votre dîner… vous avez dîné au Palais-Royal, aux Frères-Provencaux… vous y avez écrit un billet au crayon, et ce billet vous l’avez envoyé ici par un de vos amis, M. Adolphe Durand, qui vous a prêté son passe-port… nous sommes sûrs de votre identité ; vous êtes M. Jules Rousseau.
Le fils du riche M. Rousseau, pour qui nous avons un ameublement.
Taisez-vous !
Suivez-nous !
Allons, Monsieur ! (À Giraud et à sa femme.) Pardonnez-moi l’ennui que je vous cause… et vous, Paméla, ne m’oubliez pas ! Si vous ne me revoyez plus, gardez ce que je vous ai remis et soyez heureuse.
Seigneur, mon Dieu !
Pauvre Adolphe !
Restez… nous allons visiter cette mansarde et vous interroger tous !
Ah ! ah !… elle me préférait un malfaiteur !