Page:Balzac, Chasles, Rabou - Contes bruns, 1832.djvu/314

Cette page n’a pas encore été corrigée

ue chose ?

BOISSEL.

Non, monsieur ; mais c’est que j’aurais fait ma demande d’augmentation, et j’ose croire que vous n’auriez pas dédaigné de l’appuyer. C’est bien de l’indiscrétion à moi ; mais puis-je espérer…

ROYER.

Ah ! mon pauvre Boissel, j’ai si peu le cœur a m’occuper d’affaires de bureaux. — Je vous laisse ; je vous empêche de travailler ; je vais tâcher de dormir un peu ; toute la nuit dernière j’ai été sur pied, et j’ai un fils pour lequel il faut me conserver.

(Il sort.)


SCÈNE III.


(MARDI MIDI.) — La cour de la maison mortuaire.

ERNEST ROYER à une fenêtre, son chapeau sur la tête.

ERNEST.

Eh ! dis-donc, Charles ?