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NOTES RELATIVES AU LIVRE DE L’APAISEMENT


NOTES RELATIVES À LA SECTION DE L’ENSEIGNEMENT
DES DEVOIRS DES ROIS




1. Çl. 100. Le texte porte sûta. On trouve pour ce mot, dans le dictionnaire de Saint-Pétersbourg : cocher, et : un homme issu de l’alliance d’un brahmane et d’une kshatriya, ou d’une brahmane et d’un kshatriya. Karna, fils du soleil et de Kountî avant son mariage, avait été abandonné par sa mère, et élevé, inconnu, par le cocher en chef du roi Dhritarâshtra, et par Râdhâ femme de ce cocher.

2. Çl. 109. Svayambara, cérémonie où une jeune fille choisissait elle-même son mari.

3. Çl. 121. Armure protectrice, destinée à garantir la main contre le frottement de la corde de l’arc.

4. CI. 132. Vrihadratha, roi de Magadha, eut, de deux de ses femmes, deux moitiés d’enfant. Un démon femelle anthropophage, appelé Jarâ, réunit ces deux parties qui formèrent un enfant complet, que l’on appela Jarâsandha (réuni par Jarâ).

5. Çl. 168. C’est une manière d’exprimer qu’ils étaient esclaves de toutes les passions

6. Çl. 187. Je pense que l’auteur fait allusion à l’exil dans les bois, qui avait été imposé aux Pândouides après le jeu de dés.

7. Çl. 220. Faute de numérotage dans le texte, qui de 219 passe à 225, sans qu’il y ait de lacune dans le discours.

8. Çl. 274. Encore une faute de numérotage dans le texte. De 270 à 275, il y a plus de çlokas qu’il ne faudrait, de sorte qu’après 274, j’ai du en distinguer quatre par des accents, pour retomber sur 275.