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le sol de la terre, couvert de coursiers tués, avec leurs cavaliers,

1235. De (guerriers) revêtus de leurs armures arrosées de sang, de (soldats) terribles, porteurs d’armes de diverses sortes, ayant saisi leurs épées, tenant leurs armes levées, et désireux de la victoire.

1236, 1237. Ô maître des hommes, Çakouni, fils de Soubala, après avoir combattu un instant avec ces guerriers qui étaient très proches (de lui) et dont la plus grande partie était tuée, s’approcha (du gros de notre armée, en s’éloignant) de là, avec six mille chevaux qui (lui) restaient.