en travail d’une religion nouvelle, car il sait que tout est dans le christianisme, que le christianisme a tout dit.
Toutes les communions chrétiennes gravitent donc vers une unité catholique ; le temps est venu où toutes les hérésies vont confesser leur insuffisance.
C’est en vain que, dans la métropole de la civilisation, le signe de la promesse a été outragé : la croix civilisatrice régnera sur le monde.
La Grèce, la Belgique, la Pologne, ont demande la liberté promise aux enfants de la foi : et voyez les miracles qui ont été enfantés ! La renommée aura-t–elle assez de palmes immortelles pour tant de héros ?
Une voix, prière ardente de tout un peuple qui demande le baptême du sang, s’élève, vers les hauteurs du ciel, à la mère du Christ :
« Que la Pologne, qui vous appelle sa Reine, que la Pologne qui fut si souvent le plus ferme appui de la chrétienté, rede-