apporteront leur concours pour élucider cette période dans la vie de Bakounine.
N. Sokoloff, sous-colonel en retraite, publia dans la Revue « La Parole russe », plusieurs articles ; dans l’un d’eux, il qualifia J. St. Mill, de l’épithète de racaille.
Plus tard, il fut exilé administrativement au gouvernement d’Archangelsk. De là, il fut transporté à Astrakhan d’où il s’évada.
Réfugié à l’étranger, il publia son intéressant volume : « Otstchepentzis » (Les Réfractaires), dans lequel il attribue le progrès de l’humanité entière à ceux qui se sont détachés de leur milieu[1].
W. Zeïtzeff était également collaborateur de la « Parole russe », sous la direction de Pissareff ; il y popularisait les sciences. Il passa ses dernières années à l’étranger dans les cercles des réfugiés russes, mais sans perdre néanmoins le droit de publier ses ouvrages en Russie, où il édita deux manuels d’histoire ancienne (Drag.).
Voici, mon vieil ami, le montagnard D—ridzi, que je te recommande comme un homme de bien et qui est très affable. Fais-lui un accueil bienveillant. C’est un excellent homme et tu pourras apprendre de lui bien des choses intéressantes sur l’état actuel, du Caucase.
Adieu, porte-toi bien. Ma santé ne va pas du tout ; j’ai toujours des douleurs au cœur ce qui m’empêche de dormir.
- ↑ Cet ouvrage de Sokoloff est traduit en français (Trad.).