circulaire de Mazzini ». Son calendrier-journal nous le montre occupé à la rédaction de cette circulaire jusqu’au 28 octobre ; voici le texte des notes qui y sont relatives, et qui nous font voir le brusque abandon du livre doctrinal en préparation contre Mazzini (qu’il appelle « 2e brochure mazzinienne » ou « brochure 2 Mazzini ») pour l’improvisation hâtive de cet appel à ses jeunes amis italiens[1], destiné à les mettre en garde contre la manœuvre de Mazzini et à les pousser à une action immédiate :
« Octobre 18. Brochure Mazzini 2. — 19. Brochure 2 Mazzini. (Soir) Circulaire en réponse à la circulaire de Mazzini. — 20. Circulaire contre Mazzini fini, demain considérants, — 21. Circulaire dicté à Émile [Bellerio]. — 22. Circulaire dicté à Émile ; envoyé première moitié circulaire à Paolo [un ami à Milan]. — 23. Écrit matin et soir, continuation de la circulaire. — 24. Envoyé à Milan encore quatre feuilles[2] de la circulaire ; écrit matin et soir. — 25. Envoyé à Milan quatre feuilles, jusqu’à la treizième inclusivement. — 26. Presque fin de la circulaire, matin et soir. — 27. Toujours épître aux amis contre Mazzini. — 28. Lettre de Burbero [Vincenzo Pezza, à Milan] ; fin de l’épître, en tout vingt-cinq feuilles, près de cent pages, envoyées à Burbero. »
Le Congrès « ouvrier » convoqué par la Commission
- ↑ Il avait reçu, le 16 septembre, une lettre, la première, de Carmelo Palladino, de Naples, ami de Cafiero et de Malatesta ; le 15 octobre, Vincenzo Pezza, de Milan, était venu le voir à Locarno, et une « entente complète » s’était établie entre eux.
- ↑ Ce sont, comme on le verra, des feuilles contenant quatre pages.